Je ne te donnerai pas la norme pour le Pélardon, je ne transforme qu'en brebis, et en dehors de la zone d'appellation, mais des données sont énoncées par des spécialistes.
Exemple pour du lactique
En cliquant sur ce mot, Sylvie Morge, sur le site de l'Idele, donne les principes.
Il faut se baser sur la dégustation:
" - salage à 1,5%. Pour les fromages salés tardivement tous les fromages ont été jugé trop salés. Quand le sel est en grande quantité et apporté trop tard sur les fromages, l’impact est très négatif : fromage piquant et agressif.
- salage à 1% C’est la dose préconisée pour les lactiques. Les juges semblent trouver un bon compromis entre le goût et le sel ; ils ressortent plus salés quand le sel est apporté précocement. Bon équilibre et goût champignon !!!
- salage à 0 ou 0,5%. Il ressort de l’acidité, du piquant, du goût animal, un arrière-goût non souhaité. Un manque de sel dans les fromages semble faire ressortir des défauts gustatifs donc conduite et maitrise de l’affinage (protéolyse et lipolyse) difficiles."
On est très étonnés, quand on lit les compositions sur les étiquettes de lactiques. 2% de sel, c'est impossible, immangeable, et pourtant certains osent l'écrire. Dans du Roquefort d'accord...