pour une novice....question sur la séparation mère/chevreaux

bon, il est vrai que je vous innonde de questions que vous estimez surement idiotes..et ce n'est pas faux, mais je débute, et les questions sont nimbreuses, meme si je suis sure que certaines on déjà été posées...mais je me lance :

premièrement, mettez vous toutes les mères allant mettre bas ensemble ?( lors de lamise bas ) ou les séparez vous ?

ensuite : comment faites vous avec les petits ? je suppose qu'ils faut les laisser avec les mère le temps qu'ils prennent correctement le colostrum, mais après ? les séparer et les nourrir avec poudre de lait ?


Merci d'avoir lu, et un merci encore plus grand pour ceux et celles qui me répondront

Bonsoir
Tout le monde dans la bergerie dès le soir. les béliers ne sont pas isolés en début d'agnelage.
Les brebis choisissent leur coin.... les autres s'écartent.... veilleuses allumées par une minuterie.
Ainsi, cette année, 100 naissances de suite, sans une perte. On ne surveille plus la nuit.
Exceptionnellement, on met à part, si c'est une nécessité évidente, en fait, on sort la brebis du lot.
Mais rassure-toi, les chèvres attendent que l'éleveur soit là, pour mettre bas. Dans de nombreux élevages, il n'y a pas de naissances nocturnes.
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Pour les petits, chacun a sa méthode. C'est une affaire, avant tout, économique.
D'ailleurs, voici, après recherche, ce que j'ai retrouvé : clique sur le mot suivant :
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Chez nous: troupeau de 15 Massif Central.

- toute le monde ensemble boucs et chèvres.
L'an passé les chèvres ont mis-bas une par une ou presque, et pendant les grands froids. Nous les séparions donc dans une case avec lampe chauffante le temps que les petits soient bien vaillants (quelques jours).
Cette année si c'est + normal, c'est à dire groupé, elles resteront toutes ensemble!

- nous menons les petits sous les mères, pour des raison pratiques (nous sommes "doubles actifs" mon conjoint et moi) jusqu'au sevrage.
- pendant ce temps, nous trayons éventuellement les mères qui ont trop de lait pour leur petit
- après sevrage, nous tarissons une partie des chèvres (toujours pour des raisons pratiques) et en gardons d'autres en lait.

Ce fonctionnement quelque peu particulier est lié à une organisation très serrée, puisque nous avons tous 2 un travail très prenant à l'extérieur (et loin de chez nous).